lunes, 22 de noviembre de 2010

Pour la vie.


On est partis c'était fin juin
On s'est embrassés, serré la main
Un pour tous et tous pour un et puis chacun a pris son train

On avait tous aussi peur
On s'est juré la main sur le coeur qu'on se reverrait avant dix ans
On s'est revus et maintenant de temps en temps on s'invite
même si souvent on s'évite
On se dit "bien sûr je m'en souviens" mais on se rappelle de moins en moins
Ça ne nous a pas rendus amers, on sait bien qu'on ne peut rien y faire

C'est la vie, c'est la vie, c'est la vie qui nous change et qui dérange
toutes nos grandes idées sur tout

C'est la vie, c'est la vie, c'est la vie qui décide qui nous file des rides
au coin des yeux et du coeur

A quoi ça sert d'aller contre, on perd son temps
et quand on regarde nos montres tout à coup on comprend

Il y en a qui ont fait des enfants
Il y en a d'autres qui ont dit "j'attends"
On a tous aimé les femmes
On s'est tous trouvé du charme
On est tous devenus quelqu'un dans son quartier ou plus loin
Bien sûr on s'est perdus de vue mais on n'appelle pas ça perdu

On s'est traités de tous les noms
On s'est tombés dans les bras
On n'a pas osé dire non
On a dit "oui" quand il ne fallait pas
Ça ne nous a pas empêchés de continuer à s'aimer

Pour la vie, pour la vie,
Pour la vie qui nous change et qui dérange toutes nos petites idées sur tout

Pour la vie, pour la vie,
Pour la vie qui décide qui nous file des rides au coin des yeux et du coeur

Pas besoin de faire semblant, ça ne sert à rien:
chaque jour qui passe on apprend qu'on peut jouer sans être comédien

A quoi ça sert d'aller contre, ça ne sert à rien:
chaque jour qui passe on apprend qu'on suit tous le même chemin

Nathalie


La place Rouge était vide, devant moi marchait Nathalie,
il avait un joli nom, mon guide: Nathalie...

La place Rouge était blanche, la neige faisait un tapis
et je suivais par ce froid dimanche, Nathalie...

Elle parlait en phrases sobres de la révolution d'octobre
Je pensais déjà qu'après le tombeau de Lénine
on irait au café Pouchkine boire un chocolat...

La place Rouge était vide, je lui pris son bras, elle a souri
Il avait des cheveux blonds, mon guide, Nathalie... Nathalie

Dans sa chambre à l'université, une bande d'étudiants l'attendaitimpatiemment
On a ri, on a beaucoup parlé, ils voulaient tout savoir Nathalie traduisait

Moscou, les plaines d'Ukraine, et les Champs-Élysées
On a tout mélangé et on a chanté
et puis ils ont débouché en riant à l'avance du champagne de France
et on a dansé...

La, la la...

Et quand la chambre fut vide, tous les amis étaient partis
Je suis resté seul avec mon guide, Nathalie...

Plus question de phrases sobres
ni de révolution d'octobre, on n'en était plus là
Fini le tombeau de Lénine, le chocolat de chez Pouchkine
c'était loin déjà...

Que ma vie me semble vide, mais je sais qu'un jour à Paris
c'est moi qui lui servirai de guide, Nathalie... Nathalie

jueves, 18 de noviembre de 2010

Une chanson de Francis Cabrel.je l'aime à mourir.


Moi je n'étais rien et voilà qu'aujourd'hui
je suis le gardien du sommeil de ses nuits
Je l'aime à mourir.
Vous pouvez détruire tout ce qu'il vous plaira,
elle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras
pour tout reconstruire, pour tout reconstruire
je l'aime à mourir.

Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier
elle a fait de ma vie des cocottes en papier, des éclats de rires...
Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel
et nous les traversons à chaque fois qu'elle
ne veut pas dormir, ne veut pas dormir
je l'aime à mourir.

Elle a dû faire toutes les guerres pour être si forte
aujourd'hui elle a dû faire toutes les guerres de la vie,
et l'amour aussi.

Elle vit de son mieux son rêve d'opaline,
elle danse au milieu des forêts qu'elle dessine
je l'aime à mourir.
Elle porte des rubans qu'elle laisse s'envoler
elle me chante souvent que j'ai tort d'essayer
de les retenir de les retenir
je l'aime à mourir.

Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits
je dois clouer des notes à mes sabots de bois
je l'aime à mourir.
Je dois juste m'asseoir, je ne dois pas parler,
je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer
de lui appartenir, de lui appartenir
je l'aime à mourir.

Elle a dû faire toutes les guerres pour être si forte
aujourd'hui elle a dû faire toutes les guerres
de la vie, et l'amour aussi.

Moi je n'étais rien et voilà qu'aujourd'hui... (REFRAIN).

miércoles, 22 de septiembre de 2010

jueves, 10 de junio de 2010

Transformez le texte aux temps verbaux que vous connaissez.

On a (vient d' avoir- va avoir ) du mal à imaginer à quoir ressemblaient ( viennent d' ressemblaient - vont ressemblaient) nos très lointains ancêtres, car s'ils ont (viennent d' avoir- vont avoir) beaucoup dessiné, gravé et sculpté, ils se sont ( viennent d' être- vont être) peu représentés eux-mêmes. En France, c'est dans l'Ariège et le Périgord qu'on peut ( vient d' pouvoir- va pouvoir ) contempler leurs plus anciennes créations. Elles sont vieilles de plus de 15.000 ans.
Les hommes de la préhistoire vivent (viennent d´ vivre- vont vivre)de chasse, de pêche et de cueillette. Le climat est ( vient d' être- va être ) très froid, mais ils ont appris à faire du feu pour se chauffer, s'éclairer, cuire les aliments et se protéger des bêtes sauvages. Ils mènent ( viennent d´apporter-vont apporter)une vie de nomade à la poursuite du gibier et ont pour habitat les abris naturels ou les cabanes qu'ils construisent( viennent d´ construire- vont construire-).
Avec le réchauffement du climat, les changements de la faune et de la flore sont nombreux. Les grands animaux comme les mammouths et les bisons disparaissent ( viennent d´ disparaître- vont disparaître) de nos régions. Les cerfs remplacent ( viennent d´ remplacer- vont remplacer)|/ les rennes. Le cerf est l'animal le plus couramment chassé, puis viennent le cheval, le lapin, l'ours et le sanglier. Les poissons fossiles le plus souvent retrouvés sont la truite et le brochet.
Les hommes préhistoriques inventent ( viennent d´ inventer- vont inventer) l'agriculture. Ils labourent (, sèment, récoltent et restent sur place toute l'année. Ils sont sédentaires et regroupent leurs habitations en villages. Ils cultivent une céréale: le blé, et élèvent sourtout des moutons. Pour la première fois l'homme sait produire de la nourriture et domestiquer les animaux.

jueves, 13 de mayo de 2010

DU CHASSEUR À L'AGRICULTEUR



On a du mal à imaginer à quoir ressemblaient nos très lointains ancêtres, car s'ils ont beaucoup dessiné, gravé et sculpté, ils se sont peu représentés eux-mêmes. En France, c'est dans l'Ariège et le Périgord qu'on peut contempler leurs plus anciennes créations. Elles sont vieilles de plus de 15.000 ans.
Les hommes de la préhistoire vivent de chasse, de pêche et de cueillette. Le climat est très froid, mais ils ont appris à faire du feu pour se chauffer, s'éclairer, cuire les aliments et se protéger des bêtes sauvages. Ils mènent une vie de nomade à la poursuite du gibier et ont pour habitat les abris naturels ou les cabanes qu'ils construisent.
Avec le réchauffement du climat, les changements de la faune et de la flore sont nombreux. Les grands animaux comme les mammouths et les bisons disparaissent de nos régions. Les cerfs remplacent les rennes. Le cerf est l'animal le plus couramment chassé, puis viennent le cheval, le lapin, l'ours et le sanglier. Les poissons fossiles le plus souvent retrouvés sont la truite et le brochet.
Les hommes préhistoriques inventent l'agriculture. Ils labourent, sèment, récoltent et restent sur place toute l'année. Ils sont sédentaires et regroupent leurs habitations en villages. Ils cultivent une céréale: le blé, et élèvent sourtout des moutons. Pour la première fois l'homme sait produire de la nourriture et domestiquer les animaux.




Dites dans quel temps sont-ils conjugués

a: present
ressemblaint: present
ont: pte
sont:present
pleur:present
c´est: present
vivent:present
ménent: present
construisent:present
disparaissent:present
remplacent: present
viennent:present
invenntent:present
labourent: present
sement: present
recoltent:present
restent:present
regroupent:present
cultiven:present
élévent:present
saint:present